Le Grand Gatsby – Francis Scott Fitzgerald
Il s\’agit sans aucun doute de l\’un des plus grands classiques de la littérature ! Il est apparu pour la première fois dans les librairies en 1925 et n\’a pas été très populaire du vivant de l\’auteur. Sa vision impressionnante du rêve américain en a fait un livre incontournable dans de nombreux pays du monde. Le narrateur, Nick, déménage à New York et rencontre le mystérieux milliardaire Jay Gatsby, et de nombreuses nouvelles possibilités s\’ouvrent à lui.
 
Les Hauts de Hurlevent – Semily Brontë
Ce livre, quant à lui, se targue d\’être l\’un des plus appréciés de tous les temps. La célèbre œuvre romantique a vu le jour en 1847. Avec sa vision non conventionnelle du christianisme, l\’ouvrage est devenu l\’une des œuvres les plus importantes de la littérature anglaise.
1984 – George Orwell
Il s\’agit d\’un roman anti-utopique classique du 20e siècle. Ce livre, qui répond directement aux régimes totalitaires, dépeint un monde régi par une dictature sévère dirigée par Big Brother. L\’œuvre est appréciée pour son intemporalité et ses réflexions sur l\’époque. Le livre 1984 est influencé par son époque et répond directement aux régimes totalitaires, notamment en mettant en évidence le totalitarisme caché.
 
Le seigneur des mouches – William Golding
Une liste des meilleurs livres de tous les temps ne serait pas complète sans un roman intitulé Lord of the Flies, qui raconte une histoire de survie sur une île déserte. L\’auteur de ce roman populaire est William Golding, un écrivain anglais dont l\’œuvre a été récompensée par le prix Nobel de littérature, entre autres.
La baleine blanche – Herman Melville
Adulé par certains lecteurs, détesté par d\’autres. Il s\’agit du roman La baleine blanche, publié en 1851. Herman Melville est un écrivain américain dont l\’œuvre, en raison de son originalité, n\’a pas trouvé de public littéraire à l\’époque de sa publication.
Le roman La baleine blanche décrit le voyage du baleinier Pequod et la chasse à l\’énorme cachalot blanc Moby Dick. En toile de fond, la poursuite de la baleine blanche devient une métaphore de la lutte éternelle de l\’homme contre la nature.



